Starzik dans le marché de la musique en ligne

Alors que depuis plusieurs années les internautes ont pris l'habitude de surconsommer de la musique sur leurs ordinateurs via le P2P gratuit, désormais, avec l'application de la loi DADVSI et la répression du téléchargement illégal, il y a un énorme marché de vente de musique en ligne (+ de 1 milliard de $ en 2005). D'ailleurs les grandes firmes multimédia ne s'y sont pas trompées et ont quasiment toutes leur plateforme :

• Apple avec I-tunes
• Sony avec Connect-store, Sony music et sony music mobile
• Universal avec Universal music et e-compil
• Microsoft avec msn music
• virgin avec virgin mega et virgin digital
• la Fnac avec Fnac music
• AOL avec Aol Music Now
• M6 avec M6 music
• Real ave Rhapsody
• Yahoo avec Yahoo Music
• Napster avec Napster
• Walmart avec Walmart music
• MTV avec MTV Sonic Selector
• Cora avec Cora music
• Starbucks avec hear music
• et beaucoup d'autres (Wanadoo, Alice...)

Au milieu de ce marché de requins existe une petite start-up française : Starzik, qui n'a ni lecteur MP3 ni répertoires musicaux, ni expertise e-commerce, ni réseau de distribution offline, ni de marque gage de qualité auprès des consommateurs. Leur seul avantage concurrentiel est le fait d'être indépendant. Ils jouent donc sur cet indépendance pour diffuser depuis leur première page des artistes non produits, comme décrit dans ce reportage M6.

Par ailleurs Starzik propose à ses visiteurs d'envoyer une e-carte musicale à ses amis. Ainsi la diffusion virale de la plateforme est assurée. Enfin pour accroître le potentiel viral de cette opération, Starzic la réalise en partenariat avec les Nabaztags, les lapins les plus geek set les plus tendances du moment.